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Ode à la folie
Auteur Alexandre Bali
Pays Drapeau de la France France
Genre Horreur psychologique
Lieu de parution Internet
Date de parution 2017
Type de média Page web
Couverture Alexandre Bali

Ode à la folie, ou Fool's overture en anglais, est un roman d'horreur psychologique écrit par Alexandre Bali entre 2016 et 2017. Le roman fait de nombreuses références au festival de Woodstock de 1969 et se déroule exactement un an après, entre le 15 et le 18 août 1970.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Hans Schubart, alors directeur d'un asile à Virginia Water en Angleterre dès le début de l'histoire — se déroulant un an après que le festival de Woodstock ait commencé à faire sensation en août 1969 — constate qu'un patient, Al Jeffers, a l'air de ne pas être atteint d'une quelconque maladie mentale. En l'observant, il voit en effet que cet homme n'a rien à faire ici, et Schubart décide de le sortir de l'établissement, et, après avoir demandé à Al ce qu'il voulait pour qu'il le pardonne, lui paye un voyage de quelques semaines à Barcelone en Espagne, dans un hôtel au bord de la mer. Peu après le départ du jeune homme, un coup de feu retentit. Hans court alors pour voir ce qu'il s'y passe, et trouve le corps sans vie d'un patient suicidaire, désormais méconnaissable à cause du trou énorme en plein milieu de son visage. Schubart décide de laisser le corps dans la cellule. La nuit-même, un homme doté d'une capuche, certainement pour échapper à la reconnaissance faciale des caméras de vidéosurveillance, décide d'ouvrir toutes les cellules dans la nuit du . Les fous sèment la panique partout dans le villages, les nouvelles tombent très rapidement, tout le comté du Surrey est au courant et les habitants se barricadent dans leur maison. Schubart regarde depuis sa tablette ce qu'a enregistré tout le matériel de vidéosurveillance et, après avoir lancé une reconnaissance faciale, et malgré les précautions de l'homme à capuche, ce dernier est tout de même reconnu en tant que Al Jeffers. Hans conserve sa colère et développe un stratagème pour tuer Al: tuer des innocents pour se faire passer pour passer pour un fou afin de découvrir où habite Jeffers. Il trouve finalement un sociopathe qui veut bien lui donner les coordonnées d'Al Jeffers. Hans se rend donc chez ce dernier afin de le tuer, mais Jeffers l'attend et veut tuer Schubart, et se cache derrière sa porte. Hans entre, se retourne rapidement et vise Jeffers. Al pointe également son arme sur Schubart. Hans demande alors pourquoi il l'attendait, et Jeffers lui répond que son frère était arrivé à l'asile par erreur, notamment à cause du fait qu'ils étaient jumeaux, et a décidé de libérer son frère ainsi que tous les fous de l'asile pour le conduire chez lui, mais il n'avait pas trouvé son frère. Il avait donc cherché dans toutes les cellules, et est tombé sur le corps sans vie d'un homme méconnaissable. Sans même chercher qui c'était, il en avait déduit que c'était son frère. Depuis, il essaie d'éviter Hans pour ne pas finir à l'asile et subir le même sort que son frère. Schubart lui dit qu'il savait qu'il y avait une erreur et avait payé à son jumeau un voyage à Barcelone, mais Jeffers ne l'écoute pas, lui crie: «Menteur!», et les deux appuient sur la détente en même temps. Le jumeau d'Al rentre peu après, alors qu'il avait entendu parler des événements qui se déroulaient à Brixton, et découvre les deux cadavres allongés sur le sol. Un ami psychologue, qui, nota bene, donne le nom du jumeau qui est donc Antonio, l'aide dans son deuil, et lui parle des cinq phases du deuil, tout en lui demandant, pour son frère décédé, d'aller au moins jusqu'à la cinquième. Durant leur dialogue, les trois premières phases du deuil se succèdent. Antonio met fin à ce dialogue en disant à son ami qu'il doit rester un peu seul et qu'il souhaite monter dans sa chambre. Son ami dit à Tony qu'il le comprend, et le laisse seul quelques instants. La quatrième phase étant la dépression, Tony prend le canon automatique 15 mm de son frère (alors dans la chambre du défunt), regarde dans le miroir au bout du couloir, colle son fusil sur la tempe, et finit par appuyer sur la détente.